Comparaison de la souris mécanique et la souris optique
1°) La souris mécanique

La boule, en roulant, va faire tourner les deux axes.
Les roues perforées, solidaires des axes, vont aussi tourner.
La fourche optique est composée d’un émetteur et d’un récepteur.

Lorsque la roue tourne, elle laisse passer ou pas la lumière. La lumière passe cela vaut 1, elle ne passe pas cela vaut 0. On aura donc une suite de 0 et de 1, ce que l’ordinateur sait très bien gérer.
2°) La souris optique

Pour pouvoir déplacer le curseur à l’écran, la souris optique est munie d’un capteur. Ce capteur fonctionne en réalité comme une sorte de micro appareil photo numérique, prenant plusieurs milliers de photos chaque seconde, en niveau de gris, la surface sur laquelle est posée la souris.
Comme pour n’importe quelle photographie, la lumière joue un grand rôle. Comme les temps de pause sont très réduits et l’emplacement du capteur se trouve sous la souris, la lumière environnante n’est pas du tout assez suffisante. C’est pour cela que l’on a placé une DEL (diode électroluminescente).
Cette DEL illumine à 45° le support sur lequel est placée la souris tandis que le capteur, placé verticalement au support, prend des clichés de la surface.
Ensuite, un minuscule microprocesseur analyse les clichés afin de déterminer la direction et l’amplitude du déplacement. Celui-ci cherche des points communs entre les clichés successifs en les comparants.
Grâce à ces informations, on détermine la direction et la distance parcourue par la souris.
